Avec mon fils, j'ai 134 ha et nous faisons 600 000 bouteilles. Aujourd'hui, il faut être partout à la fois : à la vigne, à la cave et à la vente. Ca n'arrête jamais. Il faut se démener pour vendre. Alors quand j'ai besoin de me décontracter, je prends mon tracteur le soir, quand les ouvriers sont partis. Je vais travailler pendant une heure ou deux dans les vignes. Et je respire. Je prends l'air. Je réfléchis. Je fais même mes comptes.