“Être viticultrice est un métier très noble mais très difficile dans une appellation peu connue. En France, il y a trop d'appellations. Croyez-vous qu'un consommateur américain comprenne quelque chose au Haut-Médoc ou au Côtes de Castillon ? Ce qu'il veut, c'est un bordeaux et un bon. Et rencontrer le producteur.