Des chercheurs brésiliens et français de l'École supérieure d'agriculture d'Angers ont pu distinguer des parcelles conduites en bio de celles menées en culture conventionnelle en analysant des images satellite prises en 2013 par la Nasa. Ils ont comparé le rayonnement émis par 58 parcelles du Val de Loire : 46 conventionnelles et les autres en bio. Ils supposent que les herbicides affectent le rayonnement des vignes conventionnelles. Ils ont aussi différencié les parcelles plantées en chenin de celles plantées en cabernet.