« Cette année, les moûts blancs et rosés s'oxydent très facilement », constate Mathilde Ollivier, en Anjou.
Julien Belle fait le même constat dans le Bordelais, dans le Bergeracois et dans le Gers. Il a fallu bien débourber et protéger les jus de l'oxydation avec de la carboglace. « Plus ils roussissaient, plus nous avons débourbé serré, quitte à réintroduire des bourbes qualitatives par la suite », détaille Julien Belle. Les oenologues ont également incité les vignerons à coller les moûts avec de la PVPP ou avec des protéines végétales.