Cette assurance récolte aura fait couler beaucoup d'encre...

Comme le dit notre dicton local : « Paye, paysan ! Tu seras bien vu. » Cette fois, on va nous obliger à souscrire pour en mettre un peu plus plein les poches aux assureurs. Mais laissez le monde paysan tranquille ! Si on a envie d'avoir une assurance, on la prendra nous-mêmes. Laissez-nous la liberté de faire nos propres stocks assurances aléas climatiques avec nos VCI ou nos réserves climatiques. Ça, ce n'est pas de l'argent jeté par les fenêtres. Ça ne coûte pas autant qu'une assurance, ça entretient la bonne tenue de nos marchés en cas de pépin climatique, puisque l'on a encore du stock pour les approvisionner, et ça ne fait pas fluctuer les cours. Un peu de bon sens M. Despey. Allez donc à l'Inao faire approuver des réserves climatiques pour tous les vignobles de France... »