Bordeaux a toujours été une terre cosmopolite avec des propriétaires étrangers - Belges, Anglais, Danois, Américains et maintenant Chinois... - la liste est longue. Ces étrangers n'ont jamais emporté notre terroir dans leur pays. Et presque jamais démonté les châteaux dont beaucoup seraient aujourd'hui en ruine sans leur passion. On peut aussi constater que grâce à ces capitaux, une économie a pu se développer. Des emplois non délocalisables sont créés, une filière dynamique produit de l'excédent commercial. La consommation française reste très importante. Malheureusement, elle est en constant déclin et ne peut, à elle seule, faire vivre notre viticulture nationale. »